Secteur Ouest – Le Manège

Comme pour tous les groupes du monde, Empire Dust, c’est avant tout l’histoire d’une (bonne) rencontre.
Début 2012, Lord Kimo et Babatunde, deux MC londoniens, traversent la Manche pour travailler sur les maquettes d’un projet électro à l’initiative d’un musicien breton.
Des séances en studio sont prévues, mais, très vite, celles-ci se révèlent tendues : rapports conflictuels et choix esthétiques divergent entre les deux MC et le musicien à l’origine du projet. Les portes claquent, c’est le clash !
Mais ces quelques séances auront permis à Lord Kimo et Babatunde de rencontrer, dans les couloirs du studio breton, David Bellec, guitariste, et Ghislain Baran, réalisateur.
Le courant passe et, au fil de quelques discussions, le quatuor se découvre de nombreuses influences communes. Goût prononcé pour les phrasés Hip Hop habités, mais aussi passion pour un certain esthétisme Rock, Punk (de la première génération), voire New Wave 80.
Ghislain Baran fantasme : "pourquoi ne pas écrire quelques chansons ensemble, histoire de voir… D’autant plus que (suite aux séances avortées), le studio est disponible pour quelques jours". Trêve de discussion et action.
Trois titres sortiront de ces séances improvisées. La fusion des genres fonctionne, en tout cas, le quatuor en est convaincu et, enthousiaste, décide de déposer le fruit de ses efforts sur le bureau du jeune directeur du label Last Exit Records : Damien Litaud. Celui-ci, avant la fin du second titre, a déjà, de sa main droite, sorti une épaisse liasse de contrats et, de sa main gauche, une bouteille de champagne. Pure folie par les temps qui courent (morosité ambiante et crise du disque oblige), mais, quand on a choisi ces métiers-là, c’est la passion qui commande… on n’a qu’une vie.
Il est décidé de travailler sur un album. Pour cela, deux nouveaux membres viennent rejoindre l’équipe : Ton’s pour les claviers et Cédric Broquaire pour la batterie. Empide Dust est né.
La musique d’Empire Dust mélange avec simplicité esprit Hip Hop et grosses guitares dans la pure tradition Rock. Ajoutons qu’un zeste de mélancolie vient souligner le flow et le timbre inimitable de la voix de Lord Kimo, parfaitement complétée par celle de Babatunde. Un univers "Indé", au service de textes "assez malins", constats amers et lucides sur un monde qui ressemblent de moins en moins à ce que beaucoup en espéraient : "Life is a bitch and Death is her sister".
Sur scène, Empire Dust propose une certaine radicalité : batteur brutal, riffs et mur d’amplis vintage, claviers impliqués et rien que du bon gros son. Si nos deux MC, bad boys, affichent une certaine désinvolture sur scène (mais aussi en studio…), ils n’oublient jamais qu’on est là pour s’amuser, donner du plaisir et défendre un mix musical inédit et particulièrement… jouissif !
Début 2012, Lord Kimo et Babatunde, deux MC londoniens, traversent la Manche pour travailler sur les maquettes d’un projet électro à l’initiative d’un musicien breton.
Des séances en studio sont prévues, mais, très vite, celles-ci se révèlent tendues : rapports conflictuels et choix esthétiques divergent entre les deux MC et le musicien à l’origine du projet. Les portes claquent, c’est le clash !
Mais ces quelques séances auront permis à Lord Kimo et Babatunde de rencontrer, dans les couloirs du studio breton, David Bellec, guitariste, et Ghislain Baran, réalisateur.
Le courant passe et, au fil de quelques discussions, le quatuor se découvre de nombreuses influences communes. Goût prononcé pour les phrasés Hip Hop habités, mais aussi passion pour un certain esthétisme Rock, Punk (de la première génération), voire New Wave 80.
Ghislain Baran fantasme : "pourquoi ne pas écrire quelques chansons ensemble, histoire de voir… D’autant plus que (suite aux séances avortées), le studio est disponible pour quelques jours". Trêve de discussion et action.
Trois titres sortiront de ces séances improvisées. La fusion des genres fonctionne, en tout cas, le quatuor en est convaincu et, enthousiaste, décide de déposer le fruit de ses efforts sur le bureau du jeune directeur du label Last Exit Records : Damien Litaud. Celui-ci, avant la fin du second titre, a déjà, de sa main droite, sorti une épaisse liasse de contrats et, de sa main gauche, une bouteille de champagne. Pure folie par les temps qui courent (morosité ambiante et crise du disque oblige), mais, quand on a choisi ces métiers-là, c’est la passion qui commande… on n’a qu’une vie.
Il est décidé de travailler sur un album. Pour cela, deux nouveaux membres viennent rejoindre l’équipe : Ton’s pour les claviers et Cédric Broquaire pour la batterie. Empide Dust est né.
La musique d’Empire Dust mélange avec simplicité esprit Hip Hop et grosses guitares dans la pure tradition Rock. Ajoutons qu’un zeste de mélancolie vient souligner le flow et le timbre inimitable de la voix de Lord Kimo, parfaitement complétée par celle de Babatunde. Un univers "Indé", au service de textes "assez malins", constats amers et lucides sur un monde qui ressemblent de moins en moins à ce que beaucoup en espéraient : "Life is a bitch and Death is her sister".
Sur scène, Empire Dust propose une certaine radicalité : batteur brutal, riffs et mur d’amplis vintage, claviers impliqués et rien que du bon gros son. Si nos deux MC, bad boys, affichent une certaine désinvolture sur scène (mais aussi en studio…), ils n’oublient jamais qu’on est là pour s’amuser, donner du plaisir et défendre un mix musical inédit et particulièrement… jouissif !
Site : Empire Dust

Après une année 2011 riche et foisonnante (Art Rock, les Transmusicales de Rennes, une victoire aux InRocksLab, sans compter la sortie de deux EPs), le collectif retrouve ses contrées bretonnes afin de se consacrer à l’écriture de son premier album, « Ten thousand nights« , mixé par Birgir Jòn Birgisson (Sigùr Ros, Mùm, The album leaf).
Propice au rêve éveillé, ce premier long format est le résultat d’un an de recherche, d’exploration et d’expérimentation sonore. Au fil des neuf titres, où se mèlent mélodies raffinées, textures sonores oppressantes et envolées grand angle, se révèle un savoir-faire artisanal, exigeant et novateur, terreau d’une pop ambitieuse et délicate.

Bumpkin Island was formed in 2010 in an attic that had been converted into a home studio. The idea was to mix organic and digital sounds and textures, to finally find their own playground : cold guitars, toys and synths, all intermingling into an aerial pop music.
Having lived a year (2011) full of events (Art Rock and Transmusicales de Rennes Festivals, success with the InrockLab, not forgetting the release of 2 EPs), the musical ensemble came back to its native breton counties so as to focus on the writing of their first album, « Ten thousand nights« , mixed by Birgir Jòn Birgisson (Sigùr Ros, Mùm, The album leaf).
Fit for daydreaming, this first long format is the result of a year of musical research, exploration and experimentation. As you discover the 9 tracks, where refined melodies, oppressive textures and wide-angle sounds become entangled, they reveal an innovative and demanding home-made craftsmanship, a breeding ground for a delicate and ambitious pop.
Having lived a year (2011) full of events (Art Rock and Transmusicales de Rennes Festivals, success with the InrockLab, not forgetting the release of 2 EPs), the musical ensemble came back to its native breton counties so as to focus on the writing of their first album, « Ten thousand nights« , mixed by Birgir Jòn Birgisson (Sigùr Ros, Mùm, The album leaf).
Fit for daydreaming, this first long format is the result of a year of musical research, exploration and experimentation. As you discover the 9 tracks, where refined melodies, oppressive textures and wide-angle sounds become entangled, they reveal an innovative and demanding home-made craftsmanship, a breeding ground for a delicate and ambitious pop.
Site web : Bumpkin Island
Dernier EP en écoute : Home Work #1
Interview du groupe : Bumpkin Island en interview
Vidéo live de Bumpkin Island : Clip Bumpkin Island
Dossier pédagogique : Bumpkin Island

Pour atteindre cet idéal mélancolique, le rennais Sylvain Texier, auteur-compositeur-interprète, sculpte ses architectures sonores par petites touches légères, ajoutant, tout à tour, à sa guitare et à sa voix, un violoncelle, un glockenspiel, un toy piano ou des percussions.
Sensuel et délicat, empreint de nostalgie, son univers a besoin d’intimité, de pudeur, pour parler au plus près du coeur.
Site web : The Last Morning Soundtrack
Dernier EP en écoute : Ghosts
Interview de l’artiste : The Last Morning Soundtrack en interview
Vidéo d’une session d’enregistrement (réalisée par Clément Gino) : Clip The Last Morning Soundtrack
Dossier pédagogique : The Last Morning Soundtrack

De chansons qu’on qualifierait au premier abord de naïves et bravaches mais en s’affranchissant de tout complexe, et surtout avec l’envie de s’approcher du précipice dans l’écriture, Fuzeta ne peut que grandir encore et encore.
Site web : FUZETA